Documentaire Schneider Electric

« HISTOIRE D’UN LABORATOIRE, ENTRE HÉRITAGE ET AVENIR »

UN DEFI :

Celui de produire un film qui raconte 100 ans d’histoire, suffisamment complet de part son contenu, mais aussi diffusable en contexte évènementiel, dont les contraintes temps sont fortes.

UN PLAISIR : 

Celui d’avoir orienté et accompagné Hugo Estornel et ses équipes dans la déclinaison d’une proposition conceptuelle et intentionnelle.

Comment rendre attrayant, attractif, même pour un public de non passionnés, l’histoire des 100 ans d’un laboratoire industriel. 

En préparation du tournage, mon accompagnement et mon travail auront donc consisté dans la définition de cette proposition conceptuelle qui comprendra comme point clef : 

1/ Une structuration et une dynamisation des messages : 

- Re visiter, Ré-orienter, Re découper les messages et le riche contenu produit par les équipes de Schneider. Rendre attractives les interviews, pour ne pas s’ennuyer, créer suffisamment de répondants et de rebonds. En soit un découpage permettant aux interlocuteurs de s’exprimer de manière courte, succincte, à tour de rôle. Une histoire vécue par chacun et qui se partage.

2/ Des éléments visuels importants 

La déclinaison et la proposition de différentes animations visuelles : 

- Une introduction « historique » sous forme de photos animées

- Des animations textes journal visant à appuyer certaines phrases, certains propos 

- Des animations textes à connotations modernes pour appuyer des points précis 

Ces éléments graphiques ayant pour objectifs de dynamiser le film, mettre en valeur certains dires, mais aussi et bien évidemment d’apporter une touche moderne et originale au film, et ainsi une structuration variée. 

Le tournage et le montage du documentaire ont donc été réalisés en l’espace de 2 semaines (3 jours pour les interviews et plans de coupe), 1 semaine pour le montage du film. 

Un énorme merci à Hugo ESTORNEL, Michelle Fiard , eric BETTEGA , Édouard Fernandez, Andressa Nakahata Medrado, Amandine Guizzon.

Un travail remarquable de leur part, sans quoi le film n’aurait pas été possible. Des heures de recherches, de classification des documents, d’écriture… 

Des semaines de bonne humeur, un travail fluide, dans la décontraction la plus totale…